Vous trouverez ci-dessous diverses informations sur la préparation du sommet de Copenhague et le résumé d'une analyse de la notion de décroissance et des problèmes qu'elle fait naître, transmise par nos collègues Alain Beitone (professeur de Sciences économiques et sociales en CPGE) et Marion Navarro (agrégée doctorante en Sciences économiques et sociales). Nous les en remercions.
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CHANGEMENT CLIMATIQUE : LA CES LANCE UNE CAMPAGNE POUR DE NOUVELLES
POLITIQUES INDUSTRIELLES BAS CARBONE
Bruxelles, 2 octobre 2009
Dans la perspective du Sommet de Copenhague sur le changement
climatique de décembre prochain, la Confédération européenne des
syndicats (CES) et ses fédérations lancent une campagne demandant des
politiques qui prennent en compte la protection du climat aussi bien
d'un point de vue environnemental que dun point de vue social.
La campagne de la CES sera lancée lors dune conférence organisée par la
CES, les 5 et 6 octobre à Londres. Protéger le climat, c'est aussi
créer des emplois durables et de qualité.
Trouver des solutions aux dérèglements climatiques est un défi
majeur.
La protection du climat ne peut pas être abordée seulement d'un point
de vue environnemental mais également social, sous peine d'assister à
une augmentation des inégalités. C'est pourquoi, la CES appelle les
décideurs à s'engager à traiter le changement climatique en prenant
également en compte le volet social et l'emploi.
Joël Decaillon, Secrétaire confédéral de la CES a déclaré : « La
CES considère que les dérèglements climatiques représentent une menace
majeure pour nos sociétés et nos économies et qu' ils auront un impact
négatif sur les citoyens et les travailleurs les plus vulnérables, en
particulier dans les pays en voie de développement. Nous lançons
aujourdhui une campagne dans la perspective du Sommet de Copenhague
pour affronter les dérèglements climatiques de façon globale et pas
seulement sous l'angle environnemental.
Il est en effet essentiel que les décisions qui vont être prises à Copenhague intègrent cette dimension sociale et humaine. Assurer une transition sociale juste
impose la mise en place de véritables négociations sociales à tous
les niveaux avec des instruments pour cette négociation, des
financements nécessaires, des formations nouvelles pour aider à la
transformation de l'emploi. C'est à cette condition que les
inquiétudes et les menaces pourront être transformées en opportunités
pour créer des emplois durables et de qualité et enrayer les
inégalités sociales. Ce sera le message que nous porterons à
Copenhague. Ce sera également l'objet d'une étude que nous avons
réalisée et que nous présenterons à la conférence de Londres des 5 et
6 octobre : Les dérèglements climatiques, les nouvelles politiques
industrielles et les sorties de crise. »
Lien vers l'étude « Les dérèglements climatiques, les nouvelles
politiques industrielles et les sorties de crise » :
http://www.etuc.org/a/6515
Lien vers la vidéo « Les défis du changement climatique »
:http://www.etuc.org/a/6510
La Confédération européenne des syndicats (CES) parle d'une seule
voix au nom des intérêts communs des travailleurs au niveau européen.
Fondée en 1973, elle représente aujourdhui 82 organisations
syndicales dans 36 pays européens ainsi que 12 fédérations
sectorielles.
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Infos transmises par Alain Beitone
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Problématique critique autour de la notion de décroissance
Le terme « décroissance » rencontre de plus en plus de succès dans les médias et les débats politiques. Ce terme comporte pourtant de nombreuses ambiguïtés et suscite autant d’incompréhensions. Son utilisation à des fins médiatiques n’est pas donc pas souhaitable. Par ailleurs, l’adoption du concept de décroissance et des idées qui vont avec est contradictoire avec des idéaux progressistes. C’est la thèse que soutiennent nos collègues Alain Beitone, professeur de sciences économiques et sociales en CPGE et Marion Navarro, agrégée de Sciences économiques et sociales, doctorante en économie et co-fondatrice de la revue Regards croisés sur l’économie
Décroissance: un terme ambigu, un projet critiquable
La dénonciation de « la religion du taux de croissance » (Gadrey) est aisée à comprendre. La croissance, telle que définie usuellement comme l’augmentation durable du PIB, est en effet un indicateur présentant de nombreuses limites pour évaluer les performances économiques d’un pays. Le PIB se focalise sur un champ assez restreint des activités humaines et reste aveugle à de nombreux aspects de la vie qui ont pourtant un impact important sur le bien-être. De plus, il ne prend pas en compte les externalités sur l’environnement qui résultent des processus productifs, ni la façon dont les fruits de la croissance sont distribués au sein d'une société. Autrement dit, il ne mesure pas la qualité de la croissance et témoigne d’une conception purement monétaire de la richesse. Partant de ce constat, la recherche de la croissance pour la croissance parait en effet absurde. C’est ainsi que le terme de décroissance a pu être utilisé par certains uniquement pour dénoncer ce culte du taux de croissance, sans pour autant prôner une baisse du volume de la production. S. Latouche explique ainsi qu’en toute rigueur il faudrait parler « d’une a-croissance comme on parle d’a-théisme […] C’est […] de l’abandon d’une foi qu’il s’agit ». Cet usage purement « stratégique » du mot « décroissance » nous semble être une erreur. Prôner la décroissance alors que des milliers de travailleurs se battent pour conserver leur emploi et subissent les effets de la crise économique n’est pas une bonne stratégie. Ce terme est trop ambigu, n’est pas utilisé par tous dans la même perspective et suscite autant d’incompréhension. De « mot obus », il est devenu « mot écran ».
Au-delà de l’usage stratégique qu’a pu être fait du terme décroissance afin d’éveiller les consciences aux problèmes écologiques, il convient de se pencher plus en avant sur le concept de décroissance et les idées qui vont avec. Critiquer la croissance telle que définie actuellement ne conduit pas nécessairement à rejeter la notion de développement durable et à prôner la décroissance, le développement étant une notion bien plus large que celle de croissance. Prôner un développement durable revient simplement à exiger une amélioration des conditions de vie qui soit compatible avec la préservation de l’environnement. Nous pensons qu’une telle forme de développement est incompatible avec le système capitaliste, la logique de l’accumulation et de la concurrence des capitaux impliquant une recherche effrénée du profit au mépris des préoccupations écologiques et sociales. Une grande partie des partisans de la décroissance s’opposent néanmoins de façon très affirmée au développement durable. Prôner la décroissance n’est plus seulement dans cette optique une façon de heurter les consciences pour les amener à questionner le mythe de la croissance mais est avant tout une façon de dénoncer le progrès, la science, la société de consommation, le développement économique, etc. Le développement est considéré comme un mirage proposé aux peuples du Sud et en imposant aux pays pauvres un certain nombre de choix techniques et sociaux, il provoquerait une déculturation. Ce refus du développement conduit à deux grandes orientations : la critique de l’économisme, du progrès technique, de l’extension sans limite du marché et la valorisation des cultures traditionnelles qui ne sont pas considérées comme des obstacles au développement, mais comme une résistance salutaire à l’occidentalisation du monde. La critique du développement rejoint ici le refus de l’ethnocentrisme. On propose aux pays pauvres de renoncer à la quête du développement, d’opter pour la « déconnexion » avec l’économie marchande et l’extension de la logique du capital, afin de réhabiliter de nouveaux modes de production et de consommation encastrés dans les cultures autochtones.
Cette position est largement critiquable et critiquée. Alors que la Banque mondiale, faisant le point en 2009 sur les « Objectifs du millénaires pour le développement » (échéance 2015), expliquait que «190 000 enfants étaient emportés chaque semaine par une maladie évitable ; 10 000 femmes mourraient chaque semaine de complications de la grossesse qui auraient pu être traitées ; près de 2 millions de personnes mourraient de la tuberculose et environ 1 million du paludisme chaque année ; un milliard de personnes souffraient de la faim et deux fois autant étaient atteintes de malnutrition ; et près de la moitié de la population des pays en développement n’avait pas accès à des services d’assainissement de base » , la position décroissantiste paraît intenable.
Si pour sortir d’une crise inextricablement écologique et sociale, il faut sortir de la logique du profit, nous ne voyons pas en quoi la thèse de la décroissance pourrait y aider. La majorité de la population mondiale n’est pas aujourd’hui victime de la société de consommation (pas directement en tout cas) mais vit dans le dénuement et formule une demande qui n’est pas solvable. Dès lors est-il sérieux d’inviter cette population à «opter pour la frugalité» et la « simplicité conviviale»? Le discours de la décroissance n’est pas un programme politique dans la mesure où il ne donne aucune indication sur la façon de résoudre les contradictions qui naîtront inévitablement de l’application des mots d’ordre des «objecteurs de croissance». Un programme de réponse aux enjeux écologiques et sociaux actuels suppose d’adopter une stratégie visant à infléchir les comportements en faisant appel aux outils que sont la taxation, la réglementation et les mécanismes du marché. Cela suppose aussi que l’on articule les questions environnementales et la démocratisation de la vie sociale. L’idée de «planification écologique» est potentiellement féconde mais il faut lui donner un contenu précis et travailler le lien entre cette planification et un objectif de décentralisation et d’autogestion locale.
Si le système a imposé une vision du monde selon laquelle les activités valorisées sont celles qui créent de la valeur d’échange, la position progressiste consiste à exiger la croissance de la production de valeurs d’usage. Nous ne pouvons pas prôner de façon raisonnable un arrêt de la croissance et se focaliser sur une simple meilleure répartition des richesses. Nous devons promouvoir le développement économique tout en l’ancrant dans une logique anticapitaliste. La question n’est donc pas selon nous de produire moins (la décroissance) mais de produire plus (pour répondre aux besoins sociaux), autrement (en rompant avec l’hégémonie de la logique du profit, avec le productivisme agricole et donc en refusant la logique capitaliste), autre chose (des biens et des services choisis en fonction de leur valeur d’usage), en prenant en compte les droits des générations futures (soutenabilité des choix technologiques, économiques et environnementaux).
Des valeurs contradictoires avec un projet de gauche
Ce qui frappe à la lecture des textes écrits par les partisans de la décroissance, c’est que leurs auteurs savent ce qui est bon pour l’homme, ils savent ce qui est utile et ce qui est inutile, ce qui est conforme aux besoins et ce qui ne l’est pas; ils sont contre la mode, la consommation de viande, la télévision, les téléphones portables, la publicité, les supermarchés, etc. Ils défendent la frugalité, la convivialité, la vie rurale, le petit commerce. L’anti-libéralisme proclamé, n’est donc pas seulement la dénonciation (légitime) du capitalisme et la critique des excès du tout marché, mais aussi le rejet de la pensée politique libérale liée à la Modernité, à la philosophie des Lumières, à l’affirmation de la souveraineté et de l’émancipation individuelles qui est contestée. Au sein même du mouvement écologiste a été mené depuis les années 1970 un débat sur les risques d’un «éco-fascisme».
La décroissance est aux antipodes du mouvement historique de la Modernité auquel la gauche s’est toujours identifiée: la libération de l’individu à l’égard des formes de contraintes traditionnelles, religieuses, communautaires. Cette approche nous place aussi devant une alternative intenable: la survie de la planète ou le libre choix individuel. Une autre voie est possible, celle du développement durable justement qui combine démocratie, lutte contre les inégalités, progrès technique, réorientation de la production, responsabilité collective etc. La nostalgie de la société préindustrielle, présente dans certains écrits, est en fait une mise en cause explicite ou implicite de l’idée de progrès. Mais la gauche s’est constamment battue pour le progrès contre la réaction. Ce sont les forces conservatrices et religieuses qui se sont constamment opposées au progrès et qui ont plaidé pour le retour en arrière. Il ne s’agit pas d’accepter tout changement comme un progrès, ni de se laisser abuser par le terme de « modernisation » qui cache le plus souvent la précarisation de l’emploi, mais il s’agit de revendiquer le progrès en soumettant les choix technologiques, sociaux, écologiques, etc. à des décisions démocratiques. On accordera aux «théoriciens» de la décroissance que la science peut se transformer en un scientisme qui empêche tout débat démocratique sur les choix scientifiques, sociaux ou politiques, que les problèmes écologiques ne seront pas spontanément résolus par un progrès scientifique et qu’une mobilisation collective et des choix politiques sont nécessaires, que la science elle-même est soumise aux pressions des logiques marchandes et politiques... Mais face à tous ces périls et toutes ces dérives, faut-il « Sauver la recherche » ou renoncer à la recherche ? Faut-il défendre le droit à l’esprit critique ou considérer que tout esprit critique est une illusion ? Sur ce point comme sur les précédents, une politique de gauche doit adopter une position équilibrée et offensive : pas de relativisme, mais pas de scientisme, appui à la recherche et à la liberté d’investigation scientifique, mais débat démocratique sur les choix scientifiques et technologiques.
Adopter le discours antiscientifique, hostile au progrès, relativiste tenu par une grande partie des tenants de la décroissance, c’est rompre avec toute la tradition de la gauche.
Alain Beitone, Marion Navarro
Revue de presse
La Poste :
http://www.liberation.fr/societe/0101594958-votation-sur-la-poste-grosse-participation-le-depouillement-a-commence
Plus de «2 millions de personnes» ont participé à la votation citoyenne
Le Parti socialiste avait salué dès samedi soir une «mobilisation
historique», et annoncé qu'il déposerait une proposition de loi en vue
de l'organisation d'un «référendum d'initiative populaire» sur le
changement de statut de La Poste.
http://www.leparisien.fr/economie/statut-de-la-poste-2-millions-de-francais-auraient-vote-l-ump-conteste-03-10-2009-661641.php
Statut de la Poste : 2 millions de Français auraient voté, l'UMP conteste
Près de 10 000 points de vote contre 6000 prévus
http://www.lesechos.fr/depeches/france/afp_00188640-le-succes-de-la-votation-sur-la-poste-complique-la-tache-du-gouvernement.htm
Le succès de la votation sur La Poste complique la tâche du gouvernement
http://www.lejdd.fr/Politique/Actualite/Touche-pas-a-ma-Poste-139491/
Touche pas à ma Poste
Forte du succès de la "votation citoyenne" sur le changement de statut
de La Poste, qui aurait mobilisé environ deux millions de personnes,
la gauche réclame à Nicolas Sarkozy un véritable référendum.
http://www.leparisien.fr/economie/la-mutation-de-la-poste-un-processus-long-de-dix-ans-03-10-2009-661446.php
La mutation de la Poste, un processus long de dix ans
http://www.lesechos.fr/info/service/300379765-la-poste-des-ptt-a-l-ouverture-a-la-concurrence.htm
La Poste, des PTT à l'ouverture à la concurrence
Plusieurs grandes dates ont jalonné l'histoire récente de La Poste,
depuis la fin des PTT jusqu'à l'ouverture progressive à la concurrence
du marché postal.
http://www.leparisien.fr/economie/statut-de-la-poste-le-ton-monte-entre-l-ump-et-le-ps-04-10-2009-662232.php
Statut de la Poste : le ton monte entre l'UMP et le PS
http://www.rue89.com/2009/10/04/vos-dix-raisons-davoir-vote-non-a-la-poste-privatisee
Vos dix raisons d'avoir voté « non » à la Poste privatisée
http://www.sudouest.com/accueil/actualite/france/article/726169/mil/5188101..html#c729750
Les résultats définitifs de la votation en Gironde
http://www.ladepeche.fr/article/2009/10/04/686674-La-Poste-non-a-la-reforme..html
Dans la région, les partisans du «maintien du service public»
HAUTE-GARONNE. On estime le nombre de votants à 85 000.
http://www.sudouest.com/accueil/actualite/france/article/726223/mil/5188098..html
À Pau, la mairie était exceptionnellement ouverte hier
Une urne était installée dans la salle du Conseil municipal, malgré
les consignes préfectorales
http://www.libeorleans.fr/libe/2009/10/%C3%A0-tours-les-%C3%A9diles-ont-pris-le-chemin-de-la-votation.html
À Tours, les édiles ont pris le chemin de la «votation»
Ce sont plus d’une cinquantaine de bureaux de «votation» sur l’avenir
de la Poste qui ont fleuri, ce samedi, dans tout le département
d’Indre-et-Loire.
http://www.rue89.com/2009/10/03/votation-sur-la-poste-un-exemple-a-suivre-pour-besancenot
Votation sur la Poste : « Exemple à suivre » pour Besancenot
7 octobre :
http://www.lavoixdunord.fr/France_Monde/actualite/Secteur_France_Monde/2009/10/04/article_nouvelle-journee-d-action-intersyndicale.shtml
Nouvelle journée d'action intersyndicale sur fond de malaise chez France
Télécom
Educ :
http://www.sudouest.com/accueil/actualite/france/article/726143/mil/5189790..html
Un an après la suppression de l'école le samedi, la fatigue des
enfants est dénoncée. Et l'on reparle des cours le mercredi matin
Haro sur les quatre jours
http://www.lejdd.fr/Societe/Education/Actualite/Bayrou-Ils-sont-devenus-fous-139334/
Bayrou: "Ils sont devenus fous"
François Bayrou, ancien ministre de l’Education , s’insurge contre
l’expérience d’une cagnotte anti-absentéisme voulue par le
gouvernement.
Droits et Libertés :
http://www.humanite.fr/2009-10-02_Societe_Calais-une-operation-totalement-illegale
Calais, une opération « totalement illégale »
Avocats, magistrats et associations dénoncent le traitement réservé
aux Afghans lors du démantèlement de la jungle.
http://www.mediapart.fr/club/blog/naja/041009/la-gloire-et-la-riviere
À l'intérieur d'un centre de rétention:
La Gloire et la rivière
Monsieur N, retenu numéro 472/09 est étendu là, devant moi, dans le
bureau de la Cimade du centre de rétention de S.
Développement Durable :
http://eco.rue89.com/2009/10/03/quand-les-internautes-financent-un-film-sur-le-business-de-leau
Quand les internautes financent un film sur le business de l'eau : Un
an d'enquête pour essayer de comprendre le fonctionnement du « système
français ».
Budget : 100 000 euros, par un appel de fonds auprès des internautes.
Pour l'instant, Water makes money n'a pas de diffuseur. Arte a décliné
l'offre, après avoir essuyé les menaces de poursuites en diffamation
de Veolia, suite à la diffusion du premier film du binôme allemand.
http://www.ouest-france.fr/actu/actuDetFdj_-Tout-nu-dans-le-vignoble-contre-le-rechauffement_39382-1093373_actu.Htm
Tout nu dans le vignoble contre le réchauffement
http://www.ladepeche.fr/article/2009/10/04/686678-Bourgogne-nus-dans-les-vignes-pour-Greenpeace.html
Bourgogne : nus dans les vignes pour Greenpeace!
Journalistes :
http://20minutes.bondyblog.fr/news/200910040002/christian-poveda-je-mourrai-un-appareil-photo-a-la-main
Christian Poveda : « Je mourrai un appareil photo à la main »
Juliette et Salah racontent « Christian », le photoreporter de
Saint-Denis, tué au Salvador, dont le film « La Vida Loca » est sur
les écrans.
http://www.libelyon.fr/info/2009/10/affaire-kieffer-avanc%C3%A9es-et-concert-de-soutien.html
Concert de soutien ce soir pour Guy-André Kieffer
Depuis plus de cinq ans, Guy-André, journaliste en Côte d'Ivoire, a
disparu. Il enquêtait sur des affaires embarrassantes pour le pouvoir
en place. Depuis, Bernard Kieffer, son cadet, se bat pour accompagner
l'instruction, menée par deux juges français. Et pour ne pas laisser
retomber la chape de plomb que des intérêts français et ivoiriens
aimeraient poser sur ce dossier. L'enquête menée en France avance. Au
point de rendre nerveuse la Justice ivoirienne.
http://www.lemonde.fr/europe/article/2009/10/04/des-milliers-de-manifestants-a-rome-pour-la-liberte-de-la-presse_1249099_3214.html#ens_id=1191686
Des milliers de manifestants à Rome pour la liberté de la presse
UNESCO :
http://www.lemonde.fr/opinions/article/2009/10/03/qui-a-perdu-a-l-unesco-par-alaa-al-aswany_1248901_3232.html
Qui a perdu à l'Unesco ?, par Alaa Al-Aswany
"Qu'avez-vous ressenti en apprenant que (le ministre de la culture
égyptien) Farouk Hosni avait perdu l'élection au poste de directeur de
l'Unesco ?", leur ai-je demandé.
Culture :
http://www.lemonde.fr/culture/article/2009/10/03/saint-ambroise-derniere-arme-de-dario-fo_1248909_3246.html
Saint Ambroise, dernière arme de Dario Fo
Pour Fo et son épouse, qui ont déjà été en butte à l'Eglise, saint
Ambroise (vers 340-397) serait rien moins que le précurseur, le
premier inventeur de l'expression "la propriété, c'est le vol". "Un
vrai communiste avant la lettre", a-t-il confié au quotidien milanais
le Corriere Della Sera.
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