Dans quel but politique intéressant la France?
Pour être, après Bush, le premier chef d'Etat occidental à poser le pied dans un pays massacré et divisé, voire le premier président français à faire le voyage?
Pétrole?
Coup médiatique?
Grande politique internationale ou changement de terrain vu le climat politique et social à Paris et en province?
Affirmation d'indépendance ou préliminaire à l'entrée dans le commandement militaire intégré de l'OTAN?
D'ailleurs à quoi sert l'OTAN?
Prochain déplacement, l'Iran?? Chiche!
JPB
rev presse 10 février
annonce 19 mars, Supérieur, RASED, hôpital, cote Sarko, automobile, taxe
professionnelle, manif CRA, planning familial
Les huit organisations syndicales réunies lundi soir 9 février à Paris
ont décidé d'appeler les salariés à une nouvelle journée d'action
nationale, le jeudi 19 mars, afin de réclamer du gouvernement des
mesures sociales contre la crise. Ils entendent ainsi maintenir la
pression sur le gouvernement dans l'optique de la rencontre programmée
le 18 février avec Nicolas Sarkozy.
http://www.lejdd.fr/cmc/politique/200907/les-syndicats-battent-le-rappel_186267.html
Les huit confédérations syndicales ont décidé lundi d'organiser une
nouvelle journée d'action commune le 19 mars. Elles n'ont visiblement
pas été convaincues par les annonces de Nicolas Sarkozy jeudi dernier
dans Face à la crise et réclament au gouvernement des mesures sociales
pour les Français. C'est aussi un moyen de peser avant le "sommet
social" prévu le 18 février à l'Elysée.
PARIS (Reuters) - Affichant leur unité, huit confédérations syndicales
françaises ont décidé lundi d'organiser une nouvelle journée d'action
commune le 19 mars afin de demander des mesures sociales face à la
crise.
La journée se situera après les congés scolaires, afin de permettre
une mobilisation maximale, ont-ils dit.
Les organisations syndicales entendent ainsi selon leurs termes
"maintenir la pression" sur le gouvernement tout en laissant une porte
ouverte à la discussion.
Entre tanto tendrá lugar una "cumbre social", el 18 de febrero
próximo, anunciada por el presidente francés, Nicolás Sarkozy, la
semana pasada, y que las Confederaciones consideran "un elemento
importante", informó su portavoz, Gérard Aschieri.
Nouvelle mobilisation le 19 mars : les principales déclarations syndicales
Gérard Aschieri (FSU): "Ca aurait été logique" d'être reçus à huit par
le président de la République le 18 février, "mais c'est une question
de situation réglementaire. C'est peut-être un peu petit bras, à une
situation exceptionnelle, il aurait mieux valu une réponse
exceptionnelle".
Réunies hier soir en intersyndicale, les huit organisations de
salariés ont annoncé une nouvelle mobilisation interprofessionnelle
pour le 19 mars. Elles veulent rester fermes face à l'exécutif et au
patronat, avant le sommet du 18 février.
De son côté, le gouvernement s'attaque à la préparation du sommet
social en entamant une série de réunions bilatérales avec les
partenaires sociaux. Parmi les huit organisations de l'intersyndicale,
seuls les cinq syndicats représentatifs seront reçus d'ici à vendredi
par Christine Lagarde (Economie), Brice Hortefeux (Travail), Laurent
Wauquiez (Emploi), Eric Woerth (Budget), André Santini (Fonction
publique) et Martin Hirsch (Jeunesse, Pauvreté). La CFDT puis la CFTC
ouvrent le bal cet après-midi.
http://www.lesechos.fr/info/france/4829140-le-patronat-sur-le-qui-vive.htm
Les organisations patronales préparent elles aussi intensément le
sommet social. Les leaders de la CGPME, Jean-François Roubaud, et du
Medef, Laurence Parisot, seront reçus demain rue de Grenelle. Celui de
l'UPA, Pierre Martin, le sera en début de semaine prochaine. Le choix
de Nicolas Sarkozy consistant à parler en priorité du chômage - le
chômage partiel, celui des jeunes et les sorties de CDD - ne pose pas
de problème particulier aux trois organisations. « Nous sommes tous
d'accord pour dire que la priorité c'est l'emploi », estime Laurence
Parisot. Quitte à aller plus loin que les récents accords paritaires
sur le marché du travail (janvier 2008) et l'assurance-chômage
(décembre 2008)
http://www.lesechos.fr/info/france/4829208-politique-salariale-les-entreprises-serrent-la-vis.htm
Crise oblige, les négociations salariales pour 2009 s'avèrent tendues
dans les entreprises. Les DRH proposent des augmentations générales
limitées, alors que les rémunérations variables sont affectées par la
conjoncture.
UNIVERSITES - Valérie Pécresse a rectifié ce lundi soir...
Cafouillage ministériel autour de l'entrée en vigueur du décret sur le
statut des enseignants-chercheurs. Elle est bien toujours prévue pour
le 1er septembre 2009, et non pour «la rentrée 2010» comme la ministre
Valérie Pécresse l'a dit par erreur sur France Info, a-t-elle rectifié
auprès de l'AFP.
La ministre avait déclaré: «Normalement, le décret doit entrer en
vigueur pour la rentrée 2010. Cela nous laisse un petit peu de temps
pour approfondir la concertation, le retravailler.» Les médias,
20minutes.fr compris, en ont aussitôt conclu que la réforme était
repoussée d'un an. Sa langue a fourché, a-t-elle expliqué ensuite.
Le doute aura subsisté quelques instants. Lundi 9 février en fin
d'après-midi, la ministre de l'enseignement supérieur Valérie Pécresse
indique sur France Info que le très controversé décret sur les
enseignants-chercheurs entrera en vigueur "à la rentrée 2010". La
déclaration est immédiatement interprétée comme un recul du
gouvernement, puisque l'entrée en vigueur de ce décret était prévue
pour septembre 2009. Quelques minutes plus tard, Mme Pécresse adresse
un rectificatif à l'AFP : l'évocation de 2010 était une erreur de sa
part et le décret entrera bien en vigueur en 2009, comme prévu. Dans
le dur conflit qui l'oppose au monde universitaire, ce lapsus devrait
rajouter un peu plus de tension.
Après Axel Khan qui s’était désolidarisé de la réforme n’en déplaise à
Nicolas Sarkozy qui arguait de son soutien, l’alliance entre ministère
et présidents d’université se fissure encore un peu plus : neuf
universités ont annoncé qu’elles réclamaient le retrait des projets
Darcos et Pécresse, « condition nécessaire à l’ouverture de véritables
négociations et à la relance du nécessaire processus de réforme auquel
doit être associé l’ensemble de la communauté universitaire ».
http://www.rue89.com/2009/02/09/on-classe-les-chercheurs-comme-google-classe-les-sites
L'évaluation des enseignants-chercheurs, ou l'un des principaux motifs
de la crise qui agite actuellement les universités. En cause,
notamment, la méthode employée, qui devrait encore être renforcée par
le projet de décret actuellement contesté. Philosophe et directrice de
recherche au CNRS, Barbara Cassin dénonce sur Rue89 le "scandale" de
cette méthode de notation qui, à l'instar de Google, fait que "la
qualité devient une propriété émergente de la quantité".
Au coeur du problème, le "facteur H". Cet indice développé en 2005 par
le physicien américain Jorge Hirsch, visant à mesurer l'impact d'un
chercheur en fonction de l'importance des citations de ses
publications. D'où deux écueils majeurs, selon Barbara Cassin
La seule lueur d'espoir, pour la directrice de recherche au CNRS,
provient de "très bonnes revues anglosaxonnes, comme Nature", qui "ont
demandé de sortir du pool des revues qui servaient à l'évaluation",
"considérant qu'il est absolument stupide d'évaluer de cette
manière-là".
La fronde contre le projet de Valérie Pécresse s'étend. L'Union
nationale lycéenne (UNL, première organisation lycéenne) a appelé les
lycéens à rejoindre les étudiants et les enseignants-chercheurs dans
les cortèges mardi. Une large intersyndicale a appelé à manifester à
Paris et dans certaines villes de province (*) pour protester contre
la réforme du statut des universitaires qui doit entrer en vigueur le
1er septembre 2009.
http://www.liberation.fr/politiques/0101318233-pecresse-demine-la-fac-fulmine
Valérie Pécresse voulait croire hier à la possibilité d’une «voie de
passage par le dialogue». Alors que le mouvement de protestation des
enseignants-chercheurs, qui appellent aujourd’hui à une journée de
mobilisation avec manifestations à Paris et en province, s’amplifie,
la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a annoncé
hier que le décret sur leur statut, au cœur de la contestation, serait
«retravaillé» dans le cadre d’une concertation «prolongée». Une
(petite) concession qui prouve la volonté de l’Elysée de calmer la
colère sur le front universitaire avant qu’il ne soit trop tard. Au
moment où la crise en Guadeloupe perdure (lire page 9) et qu’elle
pourrait s’installer en Martinique, le gouvernement craint que le
mouvement au sein de l’Université change aujourd’hui de nature si les
étudiants rejoignent leurs enseignants dans les cortèges. Le cauchemar
de Sarkozy : se retrouver avec des amphis paralysés avant le grand
rendez-vous du 18 février qu’il a fixé aux partenaires sociaux.
Lesquels ont annoncé hier une nouvelle journée de mobilisation le 19
mars (lire page 12).
http://www.humanite.fr/Dans-les-facs-la-colere-revient-en-deuxieme-semaine
http://videos.leparisien.fr/video/iLyROoafJmSR.html
Non! nous ne sommes pas une bande de vieux cons réactionnaires ni de
gauchistes gâteux ni de professeurs fainéants et nuls
Lundi 9 février 2009. Très en colère, le président de la Sorbonne
(Paris-IV) s'est lancé dans une charge virulente contre la réforme
portée par Valérie Pécresse. Les présidents d'université présents dans
l'amphithéâtre Richelieu de la Sorbonne ont demandé le retrait du
texte. Ils n'ont pas mâché leurs mots face à leur auditoire, des
universitaires et des étudiants.
Initialement, la mobilisation devait prendre la forme d'une
manifestation nationale à Paris mais, pour des raisons de transport,
des défilés auront aussi lieu à Aix, Avignon, Bordeaux, Marseille,
Montpellier, Toulouse ou Strasbourg.
Cette journée se tient à l'appel de la coordination nationale des
universités et d'une large intersyndicale (FSU, CFDT, FO, Solidaires,
Sauvons la recherche, Sauvons l'université, l'Unef). L'Unsa-Education,
AutonomeSup, les étudiants de la Fage et les lycéens de l'UNL la
soutiennent aussi.
Devant la forte mobilisation qui s'annonce aujourd'hui dans les
universités, Valérie Pécresse multiplie les gestes d'apaisement et...
les cafouillages. La ministre de l'Enseignement supérieur a annoncé,
hier soir, sur France Info, que le décret sur le statut des
enseignants-chercheurs, à l'origine de ce mouvement de protestation,
allait être « retravaillé » et entrerait en vigueur « à la rentrée
2010 » au lieu du 1er septembre 2009. Avant de se rétracter quelques
minutes plus tard auprès de l'AFP, en indiquant qu'il serait bien mis
en oeuvre à la prochaine rentrée. Un vrai lapsus qui risque de faire
gonfler le nombre de manifestants aujourd'hui.
A Rouen, les enseignants-chercheurs font fac en ville. En grève depuis
le début de la semaine dernière, les enseignants-chercheurs de Rouen
ne veulent surtout pas que leur mouvement reste confiné à des réunions
d'amphis ou des débats en laboratoire. "Il faut absolument montrer que
nous chercheurs, nous ne travaillons pas que pour nous", explique
Pierre-Emmanuel Berche, physicien.
A Aix-en-Provence, l'Institut d'études politiques voit rouge. "Prof en
saignant". La banderole qui barre le fronton de l'Institut de sciences
politiques (IEP) d'Aix-en-Provence donne le ton. Pour la première fois
depuis sa création en 1956, l'IEP fait une grève totale des cours et
des notes. André Cartapanis, professeur d'économie et de finances
internationales n'a rien d'un gauchiste.
Une nuit à l’école en faveur des élèves en difficulté
Enseignants, parents et élus se réunissent ce soir dans des écoles
pour défendre les réseaux d’aides spécialisées aux élèves en
difficulté, visés par une réforme ministérielle.
ASSEMBLEE NATIONALE - Le projet de loi qui s'y attaque arrive devant
les députés mardi...
Le grand chantier de la réforme du système de santé français est
lancé. L'examen du projet de loi «Hôpital, patients, santé et
territoires» (HPST) débute ce mardi à l'Assemblée nationale. Si la
réforme est jugée nécessaire, certains points inquiètent les
professionnels. 20minutes.fr passe en revue les principales mesures et
les craintes qu'elles suscitent.
Les députés vont examiner à partir de mardi 10 février le projet
"Hôpital, patient, territoire, santé" (HPTS) qui vise à réformer le
système de santé français. L'accès aux soins, les déserts médicaux, la
liberté d'installation des médecins, l'hôpital et la prévention sont
au cœur de ce texte préparé à partir notamment d'un rapport de Gérard
Larcher, aujourd'hui président du Sénat. L'opposition dénonce le côté
"fourre-tout" du projet et une "privatisation de l'hôpital public".
Le projet de loi hôpital, patients, santé et territoires devrait être
examiné par l'Assemblée nationale à partir d'aujourd'hui. Le
gouvernement semble faire machine arrière sur la taxation des médecins
refusant d'exercer dans des zones sous-dotées en praticiens.
http://www.humanite.fr/Loi-Bachelot-peur-sur-l-hopital
En débat au Parlement à partir d’aujourd’hui, le projet de loi «
hôpital, patients, santé, territoire » agrège tous les professionnels
de santé, opposés à la privatisation du système de santé.
Décryptage complet du projet de loi dans l’Humanité de mardi.
http://www.lejdd.fr/cmc/politique/200907/sarkozy-la-crise-de-confiance_186099.html
En 2009, cette nouvelle tendance à la baisse a de quoi inquiéter
l'Elysée. En effet, à y regarder de plus près, l'ensemble des sondages
réalisés depuis jeudi dernier prouve que le président de la République
est majoritairement jugé incapable d'apporter des réponses
satisfaisantes à la crise actuelle.
Face à la grogne ambiante, le chef de l'Etat ne semble pourtant pas
tout à fait résigné à faire le dos rond. Dans des propos rapportés par
le JDD, Nicolas Sarkozy s'en est ainsi pris ce week-end au Parisien,
accusé de "malhonnêteté". 52% des Français pas convaincus par Sarkozy,
avait choisi de titrer le quotidien francilien, samedi 7 février. Un
chiffre livré par le CSA, qui prenait en compte l'avis de personnes
qui n'ont pas forcément suivi le programme et qui, en outre, en
cachait un autre, plus flatteur pour l'Elysée. En effet, toujours
selon le CSA, parmi les sondés qui ont suivi tout ou partie de
l'émission Face à la crise, 55% se sont en effet déclarées convaincus.
"Il s'agissait pour nous de vérifier l'impact d'une intervention
présidentielle", s'est expliqué dimanche Dominique de Montvalon,
directeur adjoint de la rédaction du Parisien, face à ce qui ressemble
à une nouvelle polémique entre le pouvoir et les médias. "Si ce n'est
pas de la malhonnêteté, rien n'est malhonnête", a pour sa part fulminé
le chef de l'Etat, rejoint dans son courroux par l'incontournable
Frédéric Lefebvre. "C'est comme si on demandait aux Français n'ayant
pas vu un film de donner leur avis!", a attaqué dimanche, dans un
communiqué, le porte-parole de l'UMP. Le député des Hauts-de-Seine a
en outre indiqué ne pas vouloir en rester là et a annoncé, au nom de
son parti, la saisine de la commission des sondages. "Pour qu'au moins
dans le futur les Français soient pleinement informés", s'est-il
justifié. Pour détourner l'attention aussi.
L'Elysée va octroyer un prêt de 6 milliards d'euros aux deux
constructeurs, plus 500 millions pour Renault Trucks, et permettre un
nouvel accès au crédit à leurs filiales financières à hauteur de 1
milliard. Mais le renoncement aux licenciements en France durera
nettement moins longtemps que le prêt.
Des milliards comme s'il en pleuvait : réunissant hier à l'Elysée les
grands patrons du secteur automobile, Nicolas Sarkozy leur a confirmé
l'octroi d'un « prêt participatif » de 6 milliards d'euros sur cinq
ans, pour remédier à la crise du crédit, à répartir équitablement
entre Renault et PSA. Dispositif complété par un autre prêt d'environ
500 millions pour Renault Trucks, filiale du suédois Volvo qui
exploite des usines en France.
Or, pour l'instant, hormis l'Hexagone, où ils suppriment des emplois,
les deux constructeurs français sont sur un mode expansionniste à
l'étranger. Côté Renault, l'un des gros projets est incarné par la
nouvelle usine de Tanger, un investissement de 350 millions d'euros
dans sa phase initiale, et 600 millions à terme. Y renoncer
provoquerait sans nul doute des tensions entre la France et le roi du
Maroc, Mohammed VI. Carlos Ghosn considère qu'il ne s'agit pas de
délocalisation, puisque la gamme Logan n'aurait jamais été produite en
France. Cependant, Renault admet que le projet pourrait prendre
jusqu'à un an de retard.
Chez PSA, la nouvelle C3 Picasso commence à être construite dans
l'usine slovaque du groupe (Trnava), à côté des Peugeot 207. Et les
travaux de la future usine de Kaluga, en Russie, ont débuté, mais
celle-ci est officiellement destinée au marché local, ce qui répond
mieux que le précédent exemple à la « doctrine Sarkozy ».
Dans un entretien au "Monde", le PDG de PSA Peugeot Citroën, Christian
Streiff qualifie d'"équilibré" le plan d'aide à l'industrie automobile
de 6,5 milliards d'euros, présenté, lundi 9 février, par Nicolas
Sarkozy.
http://www.lesechos.fr/info/auto/4828777-psa-a-perdu-sa-boussole.htm
Quant aux aides financières publiques que vient de recevoir PSA, à
parité avec Renault, leur efficacité à terme est mise en doute par les
analystes : « Bien qu'un tel soutien en liquidités soit positif à
court terme, nous ne pensons pas que de telles interventions
gouvernementales vont aider à résoudre les problèmes structurels
auxquels est confronté le secteur automobile », estime Standard &
Poor's.
L'Association des maires ruraux de France a demandé, hier, à
participer à la concertation qui doit être mise en place pour
remplacer la taxe professionnelle, dont Nicolas Sarkozy a annoncé la
suppression en 2010 la semaine dernière. Jugeant l'annonce « brutale
», les maires ruraux souhaitent qu'elle soit « le point de départ
d'une réflexion d'ensemble sur l'avenir de la fiscalité locale et de
la mise en place d'une péréquation financière enfin réelle et sincère
»
http://www.20minutes.fr/article/298551/Marseille-Des-ballons-contre-la-retention.php
Une centaine de ballons noirs, portant en blanc le nom de
sans-papiers, ont été lâchés dans le ciel du Canet (14e). Samedi, 800
personnes selon les organisateurs, 200 selon la police, ont manifesté
devant le centre de rétention de Marseille pour réclamer la
régularisation des sans-papiers. Cette action, lancée par le Réseau
éducation sans frontières (RESF), la Cimade et la Ligue des droits de
l'homme, s'inscrivait dans le cadre d'une journée nationale « contre
l'enfermement des étrangers ».
http://journal-lamarseillaise.com/politique/m.vauzelle-insalubre-d-grad-d-gradant.html
Centre de rétention. Le préfet interdit la presse lors de la visite du
président du conseil régional hier au Canet.
Exerçant son droit de parlementaire d’accéder de jour comme de nuit à
tout lieu privatif de libertés, le président socialiste du conseil
régional Paca, député de la 16e circonscription des Bouches-du-Rhône,
Michel Vauzelle, a visité, hier après-midi, les locaux du centre de
rétention administratif (CRA) du Canet inauguré en septembre 2006.
1 600 étrangers en situation irrégulière, expulsés ou sous le coup
d’un arrêté préfectoral de reconduite à la frontière y ont transité
l’an passé. Une trentaine de tentatives de suicide y ont été
dénombrées selon des médecins, 9 seulement selon les autorités. En
décembre 2007, un jeune maçon kurde y avait trouvé la mort.
« Un univers carcéral »
La direction du Mouvement français pour le planning familial (MFPF)
n'est pas convaincue par les déclarations de Brice Hortefeux. Le
ministre du travail et de la famille s'est engagé, mercredi 4 février,
à "maintenir l'effort budgétaire" dédié au Planning familial. Depuis
plusieurs semaines, le mouvement dénonce la diminution des aides de
l'Etat, prévues dans le budget 2009. "Un tiers de nos 70 associations
départementales risquent de disparaître", estimait Claire Ricciardi,
présidente du Planning marseillais, lors d'une manifestation nationale
le 27 janvier.
http://www.lemonde.fr/planete/article/2009/02/09/le-bilan-carbone-du-jus-d-orange_1152722_3244.html
Une brique de jus d'orange Tropicana de deux litres entraîne
l'équivalent de l'émission de 1,7 kilogramme de CO2. 1 litre d'essence
brûlé en voiture : 2,3 Kg
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