Beijing :
Voir Pékin, parce qu'il n'y a pas de raison de prendre une graphie anglo-saxonne pour un nom de ville qui de toute façon se prononce autrement !
Bruxelles :
S'assurer que la Belgique existe encore ; le gouvernement ethnolinguistique est une stupidité manifeste, probablement contradictoire avec quelques textes européens validés par les membres fondateurs de l'UE et dans le cadre du Conseil de l'Europe, mais la classe politique belge paraît aussi intellectuellement corrompue que la représentation italienne... (Voir Strasbourg)
Défense européenne :
Soit il s'agit de la politique de défense d'un ensemble pleinement indépendant et, dans ce cas, la défense doit être tous azimuts et sans interférence de tiers, alliés compris ; le cadre de l'OTAN comme principe même de cette politique étrangère et de défense va à l'encontre de cette possibilité, car contrairement à ce qui est dit ou écrit ici ou là, les USA n'ont pas la volonté de partager véritablement les orientations stratégiques.
En outre, les équipements militaires, la recherche-développement dans ce secteur industriel font l'objet d'une concurrence féroce entre certains états de l'UE et avec les USA. Il serait illusoire de penser qu'il puisse en aller différemment, sauf à renoncer à des secteurs scientifiquement et économiquement porteurs.
S'il s'agit de la coordination renforcée des membres de l'UE, dans le cadre de l'OTAN, la première question à traiter est celle de la fonction actuelle de l'OTAN, très éloignée désormais des causes originelles de sa création. Il s'agit donc de préciser la stratégie globale de cette alliance élargie, y compris en affirmant des priorités :
- La thématique de la lutte planétaire contre le terrorisme ne peut être LA réponse.
- Le communisme étant retourné à l'état d'utopie, il n'est plus un fédérateur, ni dans un sens, ni dans l'autre.
- La stigmatisation de l'Islam, y compris dans sa forme fondamentaliste ou radicale, c'est-à-dire politique, ne peut faire l'objet de communication convaincante, sauf en réaffirmant le principe de laïcité; mais ce concept français, effectivement exportable par ailleurs, ne correspond à rien de comparable dans le vocabulaire ou la culture politique d'un certain nombre d'états de l'UE ou de l'OTAN ; d'autre part il ne peut être assumé par un certain nombre de dirigeants politiques de ces pays.
- Le développement économique des pays dans lesquels le terrorisme trouve des affidés ne peut être l'objet d'une politique de défense commune à l'UE, encore moins à l'UE+l'OTAN. Le disparate des % de PIB consacrés par lesdits états au développement des états les plus pauvres en est une illustration parmi d'autres possibles.
- la Russie ne peut être considérée comme devant rester à l'écart des affaires européennes et la question de l'Ukraine ou de la Biélorussie n'est pas tranchée par des indépendances voulues par des apparatchiks ambitieux bien plus que par des peuples désunis et convertis au modèle politique occidental. Une frontière commune entre l'OTAN et la Russie n'est pas une réponse pertinente aux problèmes de sécurité politique, écologique ou économique à venir.
- Il convient enfin de ne pas oublier que l'Europe n'est pas la négation des nations qui la constituent, même si c'est l'idée de quelques technocrates à courte vue, et que la France doit développer des liens propres avec la Russie.
Europe sociale :
Le 18 décembre 2007 la Cour de Justice européenne a confirmé qu'une entreprise étrangère n'était pas tenue d'appliquer le droit du travail du pays dans lequel elle fait travailler ses employés : autrement dit, une entreprise qui emporte un marché du fait de ses bas coûts de production est gagnante dans son pays d'origine et dans le pays où elle exerce avec sa main d'œuvre importée.
Cette résurgence de l'esprit Bolkestein est clairement le contraire de ce qu'on appelle ordinairement « une concurrence libre et non faussée » et cet arrêt est une fois de plus une interprétation unilatérale, idéologiquement marquée.
Les arrêts Viking, Vaxholm-Laval, Rüffert accentuent cette dérive jurisprudentielle de la CJE qui s'arroge le droit d'intervenir dans des domaines qui, ne relevant pas des traités, ne relèvent pas non plus du droit communautaire.
La justification « juridique » du dumping social au nom d'une « concurrence » qui serait le propre de la seule Europe et le fondement de toutes ses législations, en incluant toutes les législations nationales, n'est pas dans la logique des traités fondateurs et résulte d'une trop grande liberté laissée à la CJE, dont la légitimité est seconde par rapport à celle du Parlement ou du Conseil ; la progression par cette dérive jurisprudentielle de l'idéologie néo-libérale, est le signe manifeste du refus des dirigeants politiques européens d'assumer une stratégie commune explicite de construction d'une puissance européenne.
Les marchands n'ont jamais créé de « civilisation » durable.
La grève des ouvriers de Dacia en Roumanie montre que les facilités que s'accordent les entreprises qui ont délocalisé des productions, n'apparaissent plus comme « normales ».
Cet exemple ne manquera pas d'inspirer d'autres salariés, du moins dans les pays qui connaissent un régime démocratique dans lequel la liberté d'association et le droit de grève existent, conformément à quelques textes internationaux, nonobstant les interprétations abusives de la CJE.
La concurrence « libre et non faussée » n'est qu'un leurre si précisément elle ne s'applique pas en positif aux conditions de travail des salariés; aujourd'hui elle signifie simplement, double avantage pour l'entreprise, double handicap pour le salarié.
La dissymétrie dans la relation de l'employeur et de l'employé est devenue d'autant plus insupportable que le capitalisme financier montre avec la crise des subprimes (un exemple parmi d'autres) son irresponsabilité quant aux conséquences de ses choix aventureux ; il est vrai que la sphère politique aurait pu, là encore, intervenir quant à la définition des produits licites et illicites dans un tel domaine d'activités.
France :
Se souvenir qu'elle existe, qu'elle a une histoire et des intérêts particuliers, que la France d'outre-mer lui confère quelques responsabilités loin de l'Europe, parfaitement originales par rapport à tous les autres membres de l'UE, y compris ceux dont le drapeau peut flotter sur des terres lointaines, comme les Pays-Bas ou le Royaume-Uni.
Se souvenir que l'alliance franco-russe a précédé l'entente cordiale avec le Royaume-Uni.
Se souvenir que la réduction du champ d'intervention de l'Etat par des agents le représentant et à statut particulier, est une amputation générale de la légitimité de l'Etat à intervenir dans la vie des citoyens. L'absence d'Etat européen ne peut sans risque s'accompagner d'un appauvrissement des valeurs tutélaires dont les Etats-nations sont porteurs, et avec eux leurs élus.
Politique agricole commune :
Ce fut un sujet d'affrontement entre la France et ses partenaires européens, une forme d'opposition déjà (De Gaulle pensait qu'une nation qui n'était pas capable de se nourrir n'était pas indépendante) entre producteurs et marchands, entre développement durable et spéculation à court terme.
La France est la première puissance agricole d'Europe. La FAO a déclaré en état de « grave insécurité alimentaire » une trentaine d'états ; depuis juin 2007 le coût des produits alimentaires a augmenté de 55% et la FAO appelle à un sommet mondial en juin ; il importe que la France et avec elle l'Europe aient des propositions à faire à ce moment là, la présidence française de l'Union pouvant permettre d'impulser des initiatives efficaces.
Les causes de cette crise sont multiples : mode des biocarburants qui met hors du marché alimentaire des dizaines de millions de tonnes de maïs, spéculation irresponsable sur les matières premières accentuée par la recherche d'une compensation après la crise des subprimes, dérégulation libérale qui rend les pays pauvres plus vulnérables alors que l'aide au développement stagne ou régresse, effets des changements climatiques et de la transformation progressive des modes de vie (imitation du modèle alimentaire occidental) ; si les deux derniers points sont inscrits dans une évolution de long terme, les deux premiers sont de ceux qui imposent une prise de décision de nature politique.
L'une d'elles est l'annulation du paiement des intérêts de la dette des pays du Sud, aussi bien envers les états qu'envers les banques privées du Nord (l'impact de cette décision pour les prêteurs n'existe que dans la logique comptable d'une économie financière, virtuelle).
Une autre est une approche techniquement équilibrée de la question des OGM, entre la nécessité de l'investissement dans la recherche-développement, et d'abord en laboratoire ou sur des parcelles séparées des cultures « naturelles », le respect du principe de précaution, la demande de produits « bio » et la prise en compte des spécialités des terroirs, AOC entre autres, pour envisager une reconnaissance patentée de la gastronomie française.
Une autre encore est la mise en œuvre sérieuse d'une politique de régulation des marchés des matières premières agricoles, la spéculation en ce domaine pouvant avoir des conséquences criminelles qui devraient être traitées comme telles.
Il faut donc envisager l'élaboration à l'échelle planétaire, et cela passe d'abord par une entente Europe/USA/Brésil de véritables lois frumentaires.
Pékin :
La Chine n'est pas qu'un marché, elle est une puissance, dirigée par un régime dictatorial.
Puissance, elle a des intérêts géostratégiques particuliers et le contrôle du Tibet aux frontières extérieures duquel elle entretient des contentieux territoriaux avec l'Inde, fait partie de ses priorités en ce domaine.
Le Tibet ne fut considéré vraiment comme un protectorat chinois qu'avec la dynastie mandchoue, la dernière dynastie impériale, de même que le Sin-Kiang ou la Mongolie. Pour mémoire, la différence entre la langue tibétaine et le chinois (mandarin ou cantonais) est plus importante qu'entre l'ukrainien et le russe ! Puissance et dictature, même si elle n'est pas en état de conquérir militairement Taïwan, elle se donne les moyens par l'encadrement de la population, expropriations sans indemnités, y compris dans l'aménagement de Pékin, esclavage de facto dans des unités de production, y compris dans des joint-ventures avec des sociétés étrangères peu regardantes, d'un développement économique forcené au mépris des normes du BIT.
Ses fonds d'Etat en font un banquier et un investisseur qui peut prétendre peser sur les décisions de partenaires occidentaux ou sur celles des camarillas corrompues d'un certain nombre d'états de l'ex-tiers monde ; cependant l'absence de respect de normes nécessaires contre la pollution, la situation dramatique de déracinement de plusieurs centaines de millions de ruraux, la surpopulation de centres urbains aux réseaux insuffisamment développés, font que les équilibres sociaux actuels de la Chine ne sont pas satisfaisants et peuvent poser de redoutables problème de gestion du pays, pas seulement en matière d'ordre public. La redistribution des richesses est fortement inégalitaire même si une classe « moyenne » consommatrice, aux contours et au volume difficiles à définir existe, assez différenciée puisque, selon des évaluations diverses, les chiffres vont d'une soixantaine à plusieurs centaines de millions d'individus.
Dictature par le contrôle des media, la fierté nationale sollicitée, le gouvernement peut manipuler l'opinion sur un sujet comme la question tibétaine ou d'éventuels incidents pendant les J.O.
Il est probable que dans les sphères du pouvoir, comme partout, s'affrontent des partisans de l'ouverture et de l'écoute et des partisans de l'affrontement ou de la fermeture, prêts à se saisir de toute occasion ; la volonté d'accéder au rang de puissance durable est cependant probablement un plus fort moteur et la Chine ne renoncera pas à des contrats qui lui assurent et lui assureront l'accès à des technologies dont elle aura besoin et dont elle aura pu se dispenser de financer la recherche et la mise au point.
De ce point de vue là, la seule question est celle du gap technologique et de la compétitivité qualitative des produits français.
Le Président de la République française n'a donc pas à manger face au gouvernement chinois, un chapeau que d'ailleurs il ne porte pas.
Il ne devrait pas non plus prendre la risque d'aller à rebours de ce qui pourrait être l'état de l'opinion au moment de la cérémonie d'ouverture ; il est, par ailleurs, confondant que ces jeux planétaires, marqués autant par l'affairisme et le dopage depuis quelques décennies que par le dépassement de soi dans l'effort sportif et gérés par des personnes privées dans le cadre du CIO, puissent être un élément à prendre en considération dans les relations internationales entre états souverains...
Le Président de la République française ne pourra pas dissocier en août 2008 son statut de président en exercice de l'Union européenne et sa fonction de chef de l'Etat ; cette ambiguïté n'aurait d'utilité pratique que si une décision collective des états membres de l'UE indiquait la nécessité d'une présence du plus haut représentant de l'UE à Pékin... ou celle de son absence. La question de la double présence du président de l'UE et du président de la Commission peut aussi être posée mais elle ne se substitue pas à la précédente ; le président de la Commission, n'est pas le président de l'UE.
Piraterie :
L'heureux dénouement de la prise du « Ponant » a mis en évidence la nécessité de disposer de moyens d'intervention variés et d'équipes aguerries.
La Marine nationale doit donc disposer des équipements nécessaires d'autant plus que la principale voie commerciale qui relie l'Europe à l'Asie, passe par la Méditerranée, le canal de Suez, la mer Rouge et l'océan Indien : l'Europe et la France sont logiquement appelées à participer à cette entreprise de sécurisation des voies maritimes et cela donnera un contenu supplémentaire à l'activité d'une Union pour la Méditerranée.
La CMA-CGM, basée à Marseille, compte toutes les 3 heures un navire quittant l'Asie pour livrer sa cargaison en Europe ; les approvisionnements de l'Europe sont essentiellement liés au trafic maritime : un gros porte-conteneurs peut stocker l'équivalent d'un milliard de dollars.
Une police des mers efficace est possible, y compris dans le respect du droit maritime, codifié depuis des décennies et sur certains points depuis plus d'un siècle (traité de Berlin en 1878) ; le financement d'une flotte européenne équivalente à la marine US est actuellement hors de portée, d'autant que des choix politiques récents apparaîtraient comme un peu contradictoires avec cet objectif, mais le développement conjoint au moins de la flotte britannique et de la flotte française, les deux grandes nations maritimes de l'UE, pour des missions communes à toute l'Europe et sous mandatement de l'ONU est une priorité politique, technologique et économique. L'idée d'un « Charles De Gaulle », unique et immobilisé 18 mois est tout simplement affligeante.
Présidence modo Lisbonne :
Des portraits de candidats potentiels ont été tracés ; il vaut mieux à tous égards que ce président soit issu d'un état qui a intégré la zone euro et qui n'a pas multiplié les clauses dérogatoires aux traités ; il vaut mieux également qu'il ne soit pas marqué par un engagement idéologique qui heurterait la sensibilité moyenne des ressortissants d'autres nations de l'UE. Tout état pouvant sortir de l'Union, sans que de réels moyens de rétorsion existent (et c'est heureux !), il faut donc éviter à la fois le risque d'un despotisme fédéral et celui d'une impuissance confédérale.
A partir de ces données, le jeu semble très ouvert mais l'action passée à la tête de son propre pays, ou dans des fonctions éminentes dans ce pays ou dans des instances internationales, doit être prise en considération. Le blanchiment d'argent, un soupçon de corruption, un alignement atlantiste ostentatoire, un affichage pour une religion particulière sont des motifs de rejet pour la population d'autres nations.
En tout état de cause, il convient de renforcer en attendant la présence française dans les administrations de la Commission.
Strasbourg :
Obtenir un engagement définitif que le Parlement européen a son siège à Strasbourg ; l'incongruité réside tout entière dans la volonté de tenir des sessions à Bruxelles pour les commodités de la Commission et le confort de quelques élus ; or il serait temps d'accorder au Parlement une pleine reconnaissance de sa légitimité par rapport aux autres instances européennes. La Cour de justice est à Luxembourg.
Le TGV- Est peut parfaitement accueillir, si nécessaire, des rames directes Londres- Strasbourg ou Bruxelles -Strasbourg et rien ne prédispose la capitale de l'Alsace à jouer les culs de sac en matière de transports rapides au cœur de l'Europe.
Au demeurant, la France peut déclarer simplement qu'elle n'acceptera jamais le transfert du Parlement de l'Union européenne à Bruxelles ; il n'y a pas d'Europe sans la France et le seul autre pays qui, à l'évidence, peut affirmer la même chose, est l'Allemagne.
Cela paraît arrogant, mais c'est géopolitiquement exact et cela peut être mis en musique plus diplomatiquement !
Union pour la Méditerranée :
Cette idée a été en partie dénaturée par les partenaires de la France ; le programme de dépollution de la Méditerranée, dont l'intérêt n'est pas en débat, associe la banque européenne d'investissement (BEI) et le programme des Nations Unies, appelé PAM (plan d'action pour la Méditerranée). L'environnement n'est peut-être pas vu comme l'urgence absolue par les riverains du Sud, en tout cas pas comme devant se substituer à des grands travaux d'infrastructures ou à des investissements dans l'éducation.
Au moment où le Maroc se lance dans un programme de LGV entre Tanger et Casablanca et dans la construction d'un complexe portuaire spécialisé dans les conteneurs, il paraît assez évident qu'une politique de grands travaux associant des entreprises européennes, leaders dans ce secteur, pourrait contribuer à une meilleure utilisation des ressources de certains états du Maghreb, assurer de l'emploi à une jeunesse nombreuse et « désoccupée » et rapprocher des pays dont les relations interétatiques sont insuffisantes (même si les causes en sont connues : cas de l'ancien Sahara espagnol, opposant Maroc et Algérie, par exemple)
Il peut paraître anormal que certains chantiers algériens aient été confiés à des entreprises chinoises apportant dans un pays au chômage préoccupant, non seulement les réponses techniques pour lesquelles des entreprises européennes n'auraient pas concouru, mais aussi leur main d'œuvre, vivant en vase clos dans des espaces séparés de la population autochtone.
Il n'est pas non plus certain que le choix des autorités algériennes de construire des autoroutes au détriment d'une modernisation de leur réseau ferré, ait été le plus judicieux en matière d'aménagement du territoire ou d'investissement durable.
Cela dit, il reste la possibilité de lancer un vaste projet international de LGV entre Tunis et Casablanca, la traversée Est/Ouest du Maghreb relevant a priori du bon sens, d'autant qu'il est techniquement possible d'envisager une liaison fixe entre le Nord du Maroc et le Sud de l'Espagne : le détroit de Gibraltar mesure 14,4 km et sa profondeur est de 300 m.
Le financement de tels projets est à l'échelle de l'Europe et peut permettre des investissements rentables pour les revenus tirés des hydrocarbures algériens, ou pour d'autres partenaires.
Le plus difficile n'est pas la faisabilité technique, industrielle et financière du projet, mais sa prise en charge par les états concernés directement.
Il est certain aussi que l'accès à l'Europe par le sud en serait facilité, de même que les flux touristiques venus du Nord de l'Europe ; migrations et concurrence touristique pourraient poser un problème à l'Espagne, mais pas seulement
Enfin, mais chacun a cela présent à l'esprit, le principal point critique demeure la situation de conflit entre l'état d'Israël et les Palestiniens, ses conséquences pour leurs voisins, les initiatives d'une nouvelle présidence américaine au proche et au moyen orient, et cela ne peut manquer de peser sur la possibilité d'avancer dans l'approfondissement de cette Union pour la Méditerranée.
JPB
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